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Take a ride (on the wild side) Format Kindle
Cette nouvelle a aussi été publiée dans le recueil "Quatorze auteurs bêtes et méchants"
Rider, du haut de ses treize ans, se dit le meilleur "pilote" à vélo. D'ailleurs, il est coursier. Et comme son boss cherche d'autres auxiliaires qui passent sous les radars, il va vous entraîner dans son sillage vers une affaire inattendue.
- LangueFrançais
- Date de publication22 juillet 2019
- Taille du fichier1.4 MB
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Détails sur le produit
- ASIN : B07VM7J428
- Éditeur : Nada&Co
- Accessibilité : En savoir plus
- Date de publication : 22 juillet 2019
- Langue : Français
- Taille du fichier : 1.4 MB
- Utilisation simultanée de l'appareil : Illimité
- Lecteur d’écran : Pris en charge
- Confort de lecture : Activé
- Word Wise : Non activé
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 30 pages
- ISBN-13 : 978-2956284772
- Page Flip : Activé
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 7 380 en Romans noirs
- 423 939 en Romans et littérature
- Commentaires client :
À propos de l'auteur

O. Nadaco
France 1978 - ...
Bibliographie :
*Romans*
Série noire Hilton HdB :
1. KNYSNA (2016)
2. A(i)MER (2018)
*Nouvelles*
- Take a ride (on the wild side), in "Quatorze auteurs bêtes et méchants"
- La Société, in "Quatorze contrefaçons"
Commentaires client
- 5 étoiles4 étoiles3 étoiles2 étoiles1 étoile5 étoiles79%5%16%0%0%79%
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Les lecteurs apprécient le contenu du livre, le décrivant comme vif, percutant et subtil. Ils mentionnent également que l'ambiance est très bien rendue et que c'est un beau moment de lecture. De plus, les lecteurs trouvent l'univers noir, sombre et glauque.
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Les clients apprécient le contenu du livre. Ils le trouvent vif, percutant et subtil. Ils soulignent également l'ambiance très bien rendue et le superbe coup de crayon.
"...Chapeau pour ce beau moment de lecture. Instant suspendu. King ou consort peut aller se rhabiller." Développer
"...il y a deux ou trois ans et j’avais été emporté par la plume sobre, subtile et terriblement efficace d’Odehia...." Développer
"...Bien différente, plus subtile mais toute aussi percutante de ce que j’ai pu lire de son précédent roman A(i)mer, Take a ride (on the wild side) ne..." Développer
"Un livre avec une ambiance très bien rendue, sombre et inconfortable, des passages de stress intense où on se demande franchement comment ça peut..." Développer
Les clients apprécient la couleur du livre. Ils la décrivent comme noire, sombre et glauque.
"...Incisive et précise, elle vous emmène directement dans son univers, toujours noir, souvent glauque...." Développer
"...Une nouvelle noire, un titre qui chante, une auteure qui, à mon goût, ne publie pas assez… Elle a du talent, de la culture, elle nous entraîne..." Développer
"Un livre avec une ambiance très bien rendue, sombre et inconfortable, des passages de stress intense où on se demande franchement comment ça peut..." Développer
Meilleures évaluations de France
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- Avis laissé en France le 18 mai 2021L'autre jour, j'ai lu une nouvelle, soi-disant signée Stephen King. Laurie, ça s'appelle. Sans saveur, sans style, des dialogues improbables... Un clin-œil pour les initiés ? Un truc familial que seule une poignée de lecteurs pourront comprendre ?
Aujourd'hui je tombe là-dessus. Moi, l'allergique aux titres anglais si pas justifiés par l'histoire. Pourquoi tenter le coup alors, sans même lire la 4ème de couverture ? Parce que j'ai lu Knysna dans l'temps, pardi, et que j'avais plutôt pas mal aimé. Ouais.
Force est de constater que l'auteure a peaufiné son style depuis. C'est plus précis, moins dans la narration contemplative, plus vif et percutant. Le côté sombre, écorché, est toujours là, mais avec bien plus de profondeur et de vérité dans les personnages comme dans les lieux. Bref, la plume a mûri, et put*** que c'est bon !
Le "vous" narratif pourra déconcerter foule de lecteurs, mais il prend son sens à la toute fin, lors de cette seconde naissance et du retour au "tu", à cette part franche et intime, peut-être pas très heureuse, mais pourtant incontournable.
On se sent imprégné par chaque personnage, immergé dans ce quartier ricain où nombre de jeunes âmes se battent pour survivre, dans ce gang où la fatalité le dispute à la fraternité. J'ai ressenti la même réalité et la même urgence que celles décrites par Lorenzo Carcaterra dans Sleepers. C'est magistral de parvenir à tracer la gravité du propos avec une telle légèreté de ton. Le regard d'un môme ne devrait jamais quitter ses cahiers de coloriage, ses rêves de vol libre ou les caractères imprimés de quelque histoire héroïque. Mais parfois, il arrive qu'on le force à voir des choses, à mûrir trop vite.
Une opportunité. Une initiation. Un emballement. Une accélération. On aime, on rêve, on admire en même temps que Reader. On suspend son souffle quand malgré lui il prend des risques, on appréhende et on bascule très vite dans la haine, surpris par ce qu'on ne voudrait pas voir, nous non plus. Le dénouement, vous l'avez lu plus haut, est dans la force du "tu".
Chapeau pour ce beau moment de lecture. Instant suspendu. King ou consort peut aller se rhabiller.
- Avis laissé en France le 15 avril 2021C’est presque par hasard que je suis « tombée » sur cette nouvelle d’Odehia Nadaco. Il s’agit pourtant d’une de mes auteures indépendantes préférées. Mais étant un peu sortie des radars de la blogosphère littéraires ces dernières années, je n’avais pas prêté attention à cette sortie. Je cherchais quelque chose de rapide à lire un soir d’insomnie, et une nouvelle m’a paru idéale.
C’est avec un plaisir non dissimulé que j’ai retrouvé la plume d’Odehia. Incisive et précise, elle vous emmène directement dans son univers, toujours noir, souvent glauque. Ici, contrairement à Knysna ou A(i)mer , le personnage principal, Rider, est tout sauf compliqué. Il n’est pas dévoré par ses démons intérieurs, il ne vit pas dans une profondeur sombre. Il s’agit juste d’un gamin de treize ans comme les autres, qui va se laisser embarquer dans une aventure qui va le sortir un peu de son quotidien.
Malgré ce détail, on est absorbé de suite par l’univers lugubre, par le rythme presque obsédant, que l’auteure applique sur les mots – toujours justes- qu’elle emploie. Chroniquer une nouvelle est toujours un exercice difficile parce que le texte est court et que c’est la chute qui donne à l’intrigue toute sa profondeur et son sens. Et là encore, Odehia Nadaco fait preuve d’une efficacité à toute épreuve. La scène de fin s’imprime sur la rétine du lecteur et définit « Take a ride » en un éclair. En une image qui illustre les dernières lignes, chaque phrase prend son sens, et justifie tout le texte. La plume de Nadaco n’a rien perdu de sa verve, et cette nouvelle ne fait qu’attiser l’impatience de lire un prochain roman.
Noir, sans sucre.
- Avis laissé en France le 2 août 2019J’ai lu knysna il y a deux ou trois ans et j’avais été emporté par la plume sobre, subtile et terriblement efficace d’Odehia.
Je l’ai retrouvée avec plaisir dans cette nouvelle tirée du recueil « 14 auteurs Bêtes et méchants ». Je l’ai dit et redit, c’est ma préférée. Odehia détient une sorte de dextérité unique à vous planter un décor où le désœuvrement et la noirceur se mélangent pour pousser des personnages dans tout ce qui fait la marge. On sent en permanence la frontière. Tout peut basculer d’un côté comme de l’autre. C’est ça l’écriture d’Odehia, un permanent équilibre ou déséquilibre, un cheminement sur une ligne de crête où chaque phrase est une remise en question. Cette auteure possède un univers unique et elle fait des choses que peu d’auteurs arrivent à faire. Dès les premiers mots l’immersion est imparable, puis c’est la cavalcade, la chevauchée dans les tréfonds de l’âme assis à cru sur la croupe d’un mustang. On suit Rider et Reader, double face d’une même pièce, entre le rêve et la réalité, entre l’imaginaire et la crasse du monde, entre les idéaux et la zone. Le lecteur et le cavalier. C’est ça les bons écrits, vous êtes enfoncés dans le fauteuil et des mots vous emportent loin.
Il y a une vibration dans cette nouvelle qui en fait un objet unique. Merci odehia.